Ce que je pense !

Mali : ​Comment sortir de la crise ? - 09/10/2020 | L'Expatrié


Quel héritage les Maliens voudront-ils laisser aux générations futures ?

​Il est à craindre que cet héritage soit bien loin de celui que leurs ancêtres leur ont laissé.

Ces ancêtres, dont le sang a coulé pour eux et leurs progénitures.

Ces ancêtres qui ont jeté les bases de ce Mali d’honneur et de dignité.

22 septembre 2014, le Mali fête ses 54 ans d’indépendance... Amers ! - 22/09/2014 | Aïda H. DIAGNE

Nous avons écouté avec grande attention notre Président nous conter sa vision du Mali sur les ondes de la « radio mondiale.»

Quelques extraits qui ont retenu notre attention :

RFI : Est-ce qu’aujourd’hui, vous pouvez aller dans le Nord du Mali, est-ce qu’aujourd’hui vous pouvez aller même à Gao et à Tombouctou ?

IBK : Oui, Madame je peux le faire.

RFI Mais vous ne le faites pas.

IBK Je peux aller à Gao et à Tombouctou. Question simplement d’agenda, mais je le ferai Madame.

RFI : Vous pensez que cette présence militaire française est une présence de longue durée ? Vous savez qu’elle fait débat actuellement en France. Les Français sont là pour longtemps, vous avez besoin de longtemps pour maintenir l’équilibre, pour maintenir ici l’autorité.

IBK : Nous avons réglé cette question-là je pense.

Kidal, cette écharde dans la blessure nationale qui fait si mal à notre honneur - 28/05/2014 | Doumbi Fakoly

Non ! Serval ni la Minusma ne sont les amis du Mali !

Pas plus que les faux frères de la Cédéao, Alasane Uatara, Blaise Compaoré, Yayi Boni, si prolixes quand il s’était agi d’imposer, le Président illégitime de la transition, mais dont le silence est assourdissant depuis le 17 courant.

Compte-tenu de la fragilité de l’armée nationale, du point de vue de la vétusté de son matériel de combat, compte-tenu de la collusion des forces armées étrangères avec le Mnla et ses alliés, prendre la décision grave de dépêcher nos soldats sur le front, c’est assurément les envoyer à l’abattoir.

La jeunesse du Premier Ministre Musa Mara, son ignorance du moratoire, signé alors qu’il entamait ses études supérieures, sa mauvaise appréciation du danger, sa confiance en sa bonne étoile et dans son entourage politique, expliquent certainement pourquoi il a accepté la mission périlleuse qui l’a conduit dans cette zone à risques majeurs.

- Le Mali, comme d’autres pays africains, a la chance de pouvoir faire appel à des combattants formés dans la pure tradition africaine.

Il s’agit des chasseurs et de leur confrérie mobilisable dans tous les pays frontaliers.

Les coupables ont un nom. L’Histoire a ses juges ! - 26/04/2014 | Docteur Marcel MONIN


Que les classes politiques en Europe et en France fassent fonctionner un régime d’économie libérale, dans un contexte dans lequel les citoyens ne veulent pas d’un système à la Staline, est une chose.

Mais qu’un petit nombre de politiques se soit accoquiné avec des propriétaires de banques, de groupes industriels et de spéculateurs pour permettre (en catimini) à ces derniers de mettre le pays en coupe réglée (et pour le faire « avaler » aux électeurs), en est une autre.

Comment, par qui, à quelle occasion, l’opinion publique sera-t-elle réveillée sur les réalités, d’une manière telle qu’elle ressente le besoin du changement ?
Et pour qu’elle l’impose autour d’un ou plusieurs « catalyseurs » qui pourront alors lancer et encadrer le mouvement.

Mali : l’oligarchie kleptocrate au plus fort de son art au sommet de l'État ! - 03/03/2014 | Aïda H. Diagne


Méfions-nous des hommes car un jour courbés, le lendemain au sommet, l’Histoire est si imprévisible...

En réalité, ce que nous appelons démocratie n’est qu’un masque destiné à permettre à ceux qui trouvent les moyens de financer une campagne électorale, d’accéder au pouvoir.

Ces moyens sont volés au peuple, sous une forme ou une autre, et on pousse le cynisme jusqu’à demander à ce même peuple de désigner celui qui aura l’honneur de le plumer « légitimement », c’est-à-dire en son nom.

Une fois installés, ils s’empressent d’en faire profiter ceux qui n’ont aucun mérite à être fils de, voisin de, beau-père de, ou commerçant financier d’une campagne devenu conseiller spécial de.

Cette oligarchie kleptocrate exerce une tyrannie par le népotisme pour imposer par la force une organisation destinée à faire du Mali sa propriété privée. Mais une tyrannie tout en douceur car il ne faut pas, n’est-ce pas, froisser une communauté internationale qui tient au respect de la forme démocratique pour ne pas, à son tour, froisser sa propre opinion publique.

L’essentiel est de pouvoir continuer à se shooter à une Aide qui, sans effort ni talent ou génie particuliers, permet à quelques médiocres de s’engraisser rapidement et injustement en asservissant la population, …, et en bradant les richesses du pays en vue d’assouvir des fantasmes de puissance à la hauteur de l’impuissance de leur médiocrité si terriblement humaine.

« Même une petite aiguille peut coudre un grand boubou » - 05/01/2014 | Aïda H. Diagne


Dans son discours à la Nation, à l’occasion du nouvel an, le Président IBK a décrété « l’année 2014, année de la lutte contre la corruption. Un combat dans lequel je demande à chaque malienne, chaque malien, de s’engager avec moi. Nul ne s’enrichira plus illégalement et impunément sous notre mandat. »

Nous n’avons qu’un mot à vous dire Monsieur le Président : que votre volonté soit faite !

Nous avons la faiblesse (ou la sagesse, selon le point de vue) de penser que l’homme a une certaine maîtrise de son destin et que s’il commence par s’aider lui-même, le ciel finira par l’aider, et non l’inverse.

Nous comptons donc bien exercer notre libre arbitre et à ce titre, nous vous suivons à 100%.
Nous espérons connaître rapidement les moyens qui seront mis à la disposition du citoyen pour mener, à son niveau, ce combat de fond.

Vœux pieux ?...

Deuxième lettre ouverte à SEM Ibrahim Boubacar Kéïta (IBK), Président de la République du Mali - 22/12/2013 | Doumbi Fakoly

Monsieur le Président,
Par la pratique, jamais prise en défaut, du « dire vrai et du faire vrai », nos Ancêtres Méritants affirment que « s’il y a quelques chose de plus précieux que la vie, c’est bien l’honneur ! »

Nous avons la faiblesse de croire que vous ne serez pas le chef de l’État sous lequel la partition de notre pays et la « mauritanisation » de Kidal seront opérées pour mettre la domination d’une minorité blanche sur la majorité noire.

Monsieur le Président,
En vous élisant, les Maliens ont nourri et continuent de nourrir le secret espoir de pouvoir vous comparer, positivement, au lendemain de votre gestion du pays, à Sunjata Keïta l’unificateur, à Modibo Keïta le rassembleur, deux homes du « dire vrai et du faire vrai ».

Le « dire vrai et le faire » est gratifiant pour votre personne du fait des sentiments reconnaissants du peuple malien et du peuple africain, mais il est aussi une motivation forte pour la mobilisation de nos ressources internes, immenses à faire pâlir d’envie toutes les nations de ces Partenaires Techniques et Financiers, véritables mercenaires de la haute finance.

Lettre ouverte à Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Kéïta (IBK), Président de la République du Mali - 02/12/2013 | Doumbi Fakoly

Si Allah est un Dieu omnipotent et omniscient, ne le sont pas moins le Dieu de Jésus et le Dieu de nos Vénérables Ancêtres, à la fois Unique et Pluriel et au nom multiple :
Amon (Égypte antique), Amma (Dogon), Ma Ngala (Bambara), Yerkoy (Sonrhay), Guend (Peul), Klè (Mianka), etc.
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